MONTREUIL BELLAY

Salon du livre et des métiers d'art

Dénommé "Salon Anima Libri", il va réunir plus de 80 exposants ce week-end, de vendredi après midi à dimanche soir
Il aura lieu à la Closerie , route de Méron, avec une entrée fixée à 5€
L'entrée est libre pour les enfants de moins de 12 ans
Les horaires figurent sur l'agenda de ce blog
Il s'agit de la sixième édition et le thème retenu est celui de "Voyage et poésie"
Des stages de savoir faire sur les métiers d'art sont proposés jusqu'au 26 février
45 nouveaux exposants sont comptés parmi les 80 ce qui est tout simplement remarquable
Parmi tous ces artisans et artistes beaucoup viennent de France mais également de Belgique, d'Italie, de Grande Bretagne, Allemagne, Canada et Espagne
Vous pourrez découvrir la gravure, la typographie, l'enluminure, la reliure, la dorure sur cuir, la calligraphie, l'héraldique, la marbrure, le papier d'art, la photographie et le graphisme
Félicitations à Evelyne Sagot pour la maîtrise d'œuvre de cette très belle exposition

LE THOUET

Réactions à ma lettre ouverte au Président de l'Agglomération de Saumur

A la suite de ma lettre (voir au 13 février dans ce blog), de nombreuses personnes ont manifesté leur incompréhension à la politique d'arasement des barrages
Nous attendons la réponse du président à ma demande qui souhaite simplement des éclaircissements et des réponses compréhensibles pour les Saumurois
Cette lettre est parue sur mon blog, sur Facebook, Saumur Kiosque et sur le Courrier de l'ouest
Je tenais à vous faire part de deux courriers reçus hier
Le premier d'un habitant du Canton JN Perols qui a émis le désir de soutenir mon initiative par son message et le second très intéressant de Monsieur Paul Henry de Vitton, de l'association des amis et de Sauvegarde des Moulins de la Mayenne qui a le même problème sur une rivière appelé le Vicoin
Il me transmet également un article que le site Hydrauxois vient de consacrer au Thouet
Cette étude étant basée sur des données réelles je vous joins les références pour les spécialistes que cela intéresse

Le message de Monsieur Perols

La gestion du Thouet en question
Les questionnements de Dominique Monnier (CO – 13/02/2020) sont à soutenir et à diffuser largement
. Les chaussées et écluses sur le Thouet sont des œuvres historiques construites avec beaucoup de discernement et de compétence par nos ancêtres.
Elles devraient être gérées aujourd’hui par des responsables locaux qui tiennent compte des connaissances historiques locales et surtout des populations riveraines.
Or, ce n’est pas le cas.
Depuis des décennies, des budgets importants ont été consacrés, de manière autoritaire, à détruire ces œuvres ancestrales sans la consultation des populations impactées.
Il faut changer cette méthodologie irresponsable et utiliser les fonds publics pour entretenir et faire fonctionner les infrastructures existantes.
C’est possible et le résultat serait beaucoup plus pertinent que la gestion déplorable actuelle,
Il suffit de faire le bilan de quelques travaux déjà réalisés. Ils sont nombreux et il serait trop long de l’inventaire de tous les ratés,
Exemple : Le Coudray-Macouard, à Bron. Dans cette commune existaient des digues de pierre (appelées jetées) et une écluse qui, autrefois, permettait la navigation des chalands sur le Thouet.
Les responsables actuels de la gestion du Thouet ont procédé à la destruction d’une partie des jetées de pierre sans aucune consultation des populations locales et contre l’avis des lanceurs d’alarme,
Première dépense, cette destruction pour quel bénéfice ?
Qui peut apporter la preuve du bienfait de cette destruction ?
Deuxième dépense, ensuite a été construit un barrage qui se voulait automatique et qui n’a jamais fonctionné correctement, faute d’une mauvaise conception, d’une mauvaise gestion et de l’absence de l’entretien nécessaire.
Et pendant ce temps, qui représente plusieurs décennies, le reste des chaussées existantes a été abandonné à l’usure du temps. Résultat de tout cela : un vrai désastre !
Il y a 50 ans, ce lieu était une attraction locale pour les pêcheurs, pour les vacanciers, pour les populations locales et pour les enfants des communes avoisinantes.
Aujourd’hui, cela ressemble à une ruine abandonnée, les matériels installés pourrissent sur place, c’est tout-à-fait repoussant.
Et la chaussée de Bron n’est pas un cas particulier. Il y en a un certain nombre qui ont subi le même sort.
Dans beaucoup de villes construites sur les cours d’eau, ces œuvres hydrauliques historiques ont été mises en valeur et font partie de l’attrait touristique.
Pourquoi, dans les milieux ruraux, les démarches sont complètement opposées ? On abandonne et on détruit.
Serait-ce un mépris pour nos campagnes ?
Il est urgent de faire un audit, de cette gestion et de ces dépenses, afin d’établir le bilan des bénéfices qu’elles sont supposées avoir engendrés.
Ce sont des biens publics qui appartiennent aux populations locales et non pas aux gestionnaires administratifs.
Un peu de démocratie serait bienvenue.

J.N. Perols

Lettre de Monsieur Paul-Henry de Vitton

Bonjour, Monsieur,
Je me permets de vous adresser pour votre information, un article que le site Hydrauxois vient de consacrer à votre rivière.
Nous rencontrons les mêmes soucis sur plusieurs rivières dans le département de la Mayenne ( principalement le Vicoin ) avec pour résultat les mêmes conséquences catastrophiques que vous constatez sur le Thouët.
Je vous signale que 30 associations du Bassin Loire Bretagne portent actuellement un recours contentieux contre l'Agence de l'Eau Loire Bretagne qui a mis en place une politique de destruction des ouvrages de nos rivières alors que la loi stipule précisément que ceux-ci doivent être " gérés, équipés et entretenus " et en aucun cas détruits.
Merci pour le combat d'intérêt général que vous menez pour la sauvegarde de la ressource en eau, primordiale pour l'avenir de notre pays.
Très cordialement.

Paul-Henry de Vitton
Association des Amis et de Sauvegarde des Moulins de la Mayenne
http://www.hydrauxois.org/2020/02/la-colere-des-riverains-du-thouet-face.html

Article dans l'Hydrauxois

20/02/2020
La colère des riverains du Thouet face au dogme de la destruction des retenues, barrages et chaussées de moulin

Une rivière ayant de moins en moins d'eau en été et une lame d'écoulement réduite à presque rien, des proliférations de plantes invasives (jussie, élodée), une faune piscicole appauvrie, des usages et des agréments estivaux contrariés voire disparus... la colère monte sur les rives du Thouet, affluent de la Loire coulant entre Maine-et-Loire et Deux-Sèvres. Pêcheurs, riverains et élus contestent le bilan de la continuité écologique destructrice qui a vu les disparitions de plusieurs barrages et chaussées, particulièrement dans la zone gérée par l'Agglomération Saumur Val de Loire. L'étude de la station de mesure de qualité DCE proche de Saumur leur donne plutôt raison: depuis 2010, l'indice poisson rivière est toujours mauvais, avec son pire score à date récente, tandis que les teneurs maximales de nitrates ont plutôt augmenté. Pour éviter une dérive fatale comme celle du Vicoin, rivière martyre quasiment privée d'eau à chaque été depuis que 95% de ses ouvrages ont été détruits, un moratoire sur les effacements d'ouvrage sur le Thouet doit être engagé au plus vite. La restauration de continuité en long doit préserver les ouvrages et les équiper si besoin, pas les détruire.

Depuis le début des années 2010, une politique d'arasement des barrages et chaussées de moulins est menée sur le Thouet en Maine-et-loire. Ces chantiers ont soulevé de nombreuses polémiques quand ils ont été proposés, mais ont été menés malgré les protestations. Aujourd'hui, les langues se délient, particulièrement autour de l'Agglo Saumur Val de Loire — qui a agi jusqu'au présent en bon petit soldat des destructions souhaitées par l'Etat et l'agence de l'eau.

Les pêcheurs témoignent des dégâts : plus d'eau, plus de poissons, des plantes invasives
Les pêcheurs ont d'abord exprimé leur colère face à la disparition des ouvrages et de leurs réserves d'eau.“Ces retenues existaient parfois depuis mille ans”, pointe Camille Richard, membre du collectif Thouet. “La faune et la flore de la rivière étaient structurées autour de ces ouvrages.” Le reproche est d'autant plus vif que la destruction de ces barrages et de leurs précieux petits réservoirs d'eau n'est en rien une obligation. “L’Europe n’a jamais dit qu’il fallait les éradiquer”, fulmine inlassablement Ludovic Panneau, président des Martins pêcheurs, association de pêche de Montreuil-Bellay. “Elle a demandé aux gestionnaires des rivières d’entretenir les ouvrages et de les gérer de sorte que la continuité écologique soit assurée.”

Premier problème : le niveau d'eau en été est très bas en l'absence des retenues. “Le niveau et le débit du Thouet s’effondrent de manière significative”, affirme Camille Richard. Qui précise : “La rivière a perdu 2,5 mètres de profondeur en moyenne. Les bateaux ne passent plus et les berges sont trop haute”.“Ces bassins étaient indispensables à la vie aquatique, y compris l’été, quand l’eau était basse”, appuie Ludovic Panneau.
Deuxième problème : la jussie, plante invasive, s'est installée dans le secteur. “C’est un drame”, explique Camille Richard. Ce végétal étouffe l’écosystème.” “Le réchauffement de l’eau s’accélère et favorise la photosynthèse” ajoute Ludovic Panneau. “De nouvelles plantes aquatiques apparaissent, au premier rang desquelles figure l’élodée.”

Un élu dénonce le refus d'un bilan objectif des actions menées, avec comparaison entre zones avec et sans barrages
Les pêcheurs et les riverains sont donc consternés. Ils ne sont plus les seuls à se poser des questions, quand beaucoup s'inquiètent de nouveaux projets comme la disparition du barrage du moulin de Couché. Dominique Monnier, ancien maire du Puy-Notre-Dame, ex-vice président du Conseil général, s'est fendu d'une lettre ouverte à l'agglomération de Saumur Val de Loire.

En voici quelques extraits :

“Les maires se posent de nombreuses questions sur la gestion de cette rivière depuis la disparition des barrages. Ils admettent parfaitement que, pour des questions écologiques et de continuité de l’eau, cette action ait pu amener des améliorations de la rivière, mais tous indiquent qu’aucun bilan significatif n’a été réalisé.”

“Ne peut-on pas marquer une pause et réfléchir avant de continuer à araser? Peut-on savoir si le travail déjà réalisé a apporté les bénéfices écologiques espérés?”

L'élu propose une méthode objective et intéressante, comparer au fil des années comment évoluent en hydrologie, biologie et écologie les tronçons où les chaussées ont disparu et ceux où ils sont restés :

“il doit être possible de comparer les conséquences obtenues sur la partie Maine-et-Loire (relevant d’une gestion publique), arasée, avec la partie Deux-Sèvres (gestion privée), restée en état.”

Au final, Dominique Monnier interpelle le président de l’Agglo : “Pouvez-vous nous donner des éclaircissements concrets sur les améliorations espérées, si elles existent”. Et la chargée des milieux aquatiques et de la diversité à l’Agglo : “Pourquoi campe-t-elle sur ses positons sans vouloir répondre?”

Analyse des données de l'eau à la station aval près de Saumur: le bilan n'est pas bon du tout depuis 2010
L'élu, les pêcheurs, les riverains ont quelques raisons de s'inquiéter. Nous avons été voir sur la base données publiques de l'eau Naïades l'évolution des indicateurs de qualité écologique et chimique de l'eau à la station du Thouet aval, située dans le Saumurois, à Chacé. Nous avons pris les dernières mesures disponibles en ligne (2017 pour les poissons, 2019 pour les nitrates) pour voir l'évolution observée depuis 2010.

L'indice poisson rivière mesure la composition de la faune piscicole. Plus il est élevé, plus cet indice est mauvais : inférieur ou égal à 7 excellent, entre 7 et 16 bonne qualité, entre 16 et 25 qualité médiocre, entre 25 et 36 mauvaise qualité, supérieur à 36 très mauvaise qualité.

L'IPR à Chacé depuis 2010 oscille entre qualité médiocre et mauvaise qualité. Le pire score a été atteint la dernière année de mesure :

Le taux de nitrates dans l'eau indique le risque d'eutrophisation, et c'est notamment un facteur favorable aux plantes invasives. Alors que les barrages ont plutôt tendance à épurer les eaux courantes (en sédimentation et métabolisation locales des effluents), les gestionnaires de rivières ont prétendu le contraire dans les années 2010. Nous avons pris les valeurs maximales observées de chaque année (plusieurs campagnes).

Mais à Chacé, le bilan nitrates n'est pas bon:
Les nitrates sont en tendance maximale croissante à la station de mesure, à deux reprises dont en 2018 le mauvais état écologique a été atteint (dépassement de 50 mg/l). Les valeurs observées, supérieures à 30 mg/l, sont considérées comme élevées et nettement au-dessus de la concentration d'un milieu naturel d'eau de surface, hors plan d'eau.

Cesser le mépris et la langue de bois des gestionnaires, stopper un dogme destructeur
Sophie Tubiana, chargée de la gestion des milieux aquatiques et de la biodiversité à l’agglomération Saumur Val de Loire, avait ainsi répondu aux citoyens inquiets: “Nous sommes confrontés à des conflits d’usage. Agriculteurs, pêcheurs, promeneurs, chacun défend ses intérêts. À l’Agglo nous œuvrons pour le bien commun.”

Désolés de contredire cette représentante de la bureaucratie de l'eau : il n'y a aucun bien commun fondé sur la négation des attentes des riverains et des usagers, il n'y a aucun bien commun dans la destruction des patrimoines des rivières, il n'y a aucun bien commun lorsque les résultats promis des politiques d'effacement des ouvrages ne sont pas au rendez-vous et que les vraies causes de dégradation de la rivière ne sont pas traitées.

Ces pratiques doivent cesser désormais, d'autant que le gouvernement a reconnu en 2018 des excès et erreurs dans la mise en oeuvre de la continuité écologique, demandant d'engager une "politique apaisée".

Nous appelons donc les élus et citoyens du bassin du Thouet à exiger un moratoire sur toute destruction d'ouvrage, un audit indépendant de la politique menée depuis les années 2010 et une définition concertée des vraies priorités pour la qualité de l'eau.

Analyser la continuité écologique au-delà de ses bilans "officiels"
Les ouvrages anciens (moulins, forges, étangs) ou plus récents (barrages), installés depuis des décennies à des siècles, tendent à créer au fil du temps un état écologique alternatif sur les rivières, avec des zones courantes et des zones lentes, des retenues et des bras dérivés (biefs). En prenant le choix de les détruire, on occasionne une perte irrémédiable du patrimoine historique et paysager de chaque bassin, ainsi que du potentiel énergétique bas carbone de la rivière et de divers usages riverains. Par ailleurs, les gestionnaires de l'eau jouent aux apprentis sorciers, car ils refusent de reconnaître les conséquences prévisibles: perte de ressource en eau, disparition de milieux aquatiques ou humides, étiages plus sévères avec moindre hauteur d'eau et parfois assec, incision des lits, fragilisation berges et bâtis, moindre écrêtage des crues, disparition de certaines espèces lentiques qui s'étaient installées, suppression de zones refuges, etc.
Les politiques de destruction sont inspirées par des vues souvent dogmatiques sur un idéal de "retour à la nature sauvage" n'ayant pas grand sens dans les milieux européens anthropisés depuis 5 millénaires. Elles nient certaines fonctionnalités écologiques et sociales avérées des petits ouvrages. Ces effacements de barrage ne reposent de surcroît pas sur des bases légales, car le parlement français a demandé dans la loi de gérer, équiper, entretenir les ouvrages autorisés, non de les détruire. Les riverains doivent donc défendre sur chaque site les milieux et les usages menacés par des administrations et syndicats outrepassant leurs prérogatives et faisant des choix néfastes pour la société comme pour le vivant.
Trop souvent, les services de l'Etat (DDT-M, DREAL, Office de la biodiversité), les maîtres d'ouvrage publics (syndicats, parcs, intercos et agglos GEMAPI) et des parties prenantes choisies (fédérations de pêche) se contentent d'énoncer des généralités non vérifiables sur la soi-disant vertu des travaux engagés, ou se limitent à mettre en avant quelques espèces spécialisées de poissons. Mais l'écologie, l'hydrologie, la sociologie, l'histoire, la géographie et l'économie d'un bassin versant ne se limitent pas à ce discours convenu ni à ces enjeux limités. Nous avons besoin d'une analyse critique, indépendante, citoyenne des conséquences réelles des choix de continuité:
Un trophée de l'eau pour le Vicoin? Analyse critique d'un bilan médiocre
Touques: comment le lobby de la pêche à la mouche a survendu les bénéfices de la continuité écologique
Dérives sur la Dives: des pompes électriques pour des biefs transformés en marigots
Sauvegarde de la Boivre: ce que les juges administratifs exigent d'un projet de restauration de rivière
La Romanée réduite à des flaques d'eau au droit de l'ancien étang de Bussières

DEPARTEMENT

Chasse

Savez vous qu'en Maine et Loire , 16500 chasseurs ont été répertoriés pour 2019

JEUDI 20 FEVRIER 2020

MONTREUIL BELLAY

Décès
Monsieur Christian Baury, 72 ans
Hommage au cimetière , le vendredi 21 février à 10 h 30

DOUE EN ANJOU

Grand prix cycliste de Douces

Ce sera la 69ème édition de cette course très suivie dans la région
Elle verra cette année deux concurrents au nom connus
Il s'agit de Cyril et Bertrand Chavanel qui ne sont autres que les frères de Sylvain Chavanel
Ce champion bien connu des amateurs a maintenant arrêté sa carrière mais sera présent pour encourager ses frères
N'oublions pas qu'il a été sacré six fois champion de France du contre la montre, champion de France sur route et participé à 18 tours de France
Sympathique et populaire, il animera par sa présence le grand prix régional

MERCREDI 19 FEVRIER 2020

SAUMUROIS

Agglomération

L’agglomération ne cesse de construire des ateliers relais et d’en vendre, à l’image des deux ateliers sur la zone de la Saulaie à Doué-en-Anjou, dont la première pierre a été posée mercredi 12 février (relire notre article).
De nombreuses constructions sont également prévues sur plusieurs zones artisanales et commerciales.
Le principe de l’agglomération, quand un atelier relais est vendu un autre est aussitôt programmé, si cela est possible.
3,45 millions d’euros seront consacrés cette année à la construction d’ateliers-relais, d’usines-relais et à l’achat de terrains et 1,37 millions d’euros à l’aménagement des zones d’activités.
Zone d’activité de La Ronde
Une usine-relais de 800 m2 et une autre de 1 000 m2 vont sortir de terre sur la zone de La Ronde, sur les communes d’Allonnes et de Neuillé.
Les coûts respectifs sont de 590 000 euros HT, hors foncier, et de 755 000 euros HT et hors foncier.
La plus grande a déjà trouvé preneur. La remise des clés pourrait se faire au printemps. Dans l’usine-relais numéro 7 s’installera l’entreprise A.Fabre, actuellement à Bagneux et rachetée l’an dernier par Julien Houdayer, actuel gérant de A à Z Performance également à La Ronde.
Un locataire serait intéressé par la seconde.

Zone d’activité de Chacé
Un atelier-relais de 300m2 sera construit sur la zone d’activité de Chacé, commune déléguée de Bellevigne-les-Châteaux.
Le bâtiment sera livré au début de l’année 2021 et sera loué par Billaudeau Conditionnement.
L’entreprise est spécialisée dans l’installation de ligne pour l’embouteillage, l’étiquetage, l’habillage et le remplissage de bouteilles.
L’enveloppe budgétaire, hors foncier, est de 454 00 euros HT.

Zone d’activité de Bonneveau à Brain-sur-Allonnes
L’atelier-relais numéro 1, d’une superficie de 300 m2, sera livré au début de l’année 2021.
C’est la société Zucca Métal, déjà sur la commune, qui s’y installera.
Le coût de l’opération s’élève ici à 400 000 euros HT.

Zone Europe-Champagne à Montreuil-Bellay
Les ateliers 2 et 3 d’une surface de 200 m2 tous les deux sont en prévision.
Sur ce projet, le coût de l’investissement devrait s’élever à 375 000 euros HT.

DEPARTEMENT DE MAINE ET LOIRE

Communication

À partir de ce 17 février, l’Anjou s’affiche sur les écrans de France Télévision et dans 777 cinémas parisiens et d’Ile-de-France.
Objectif de cette campagne de communication lancée par Anjou tourisme et six partenaires : stimuler la notoriété et faire figurer l’Anjou parmi les destinations les plus prisées des Français.
Pour la 3e année, Anjou Tourisme, en partenariat avec le Département de Maine-et-Loire, la Fédération viticole Anjou Saumur, Destination Angers, Terra Botanica, le Bioparc de Doué-la-Fontaine et l’Abbaye royale de Fontevraud lance une campagne de communication nationale collective en investissant cette fois les médias 100% vidéos à très forte audience et la télévision.
Pour la première fois, un spot Anjou de 20 secondes sera diffusé du 17 février au 3 mars près d’émissions phares ou journaux sur les chaînes de France Télévision, ainsi que dans les cinémas parisiens.
Les internautes pourront découvrir 6 spots déclinés pour chacun des partenaires sur Instagram et Facebook jusqu’en mai.
Pour Philippe Chalopin, Président d’Anjou Tourisme, « la signature "En Anjou, partageons ce qui compte" met en valeur l’importance du lien que l’on cultive avec sa famille ou ses amis, de ceux que l’on crée au fil des découvertes sur le territoire.
Avec nos partenaires, le choix s’est porté sur la valorisation des sites touristiques « portes d’entrée » à forte notoriété qui agissent comme autant de locomotives d’image.
Au final, c’est toute la destination qui en bénéficie ».
En Anjou, on vit des moments précieux, on fait des rencontres inoubliables, on découvre des expériences uniques.
Dans les vignobles d’Anjou – Saumur, au bioparc de Doué-la-Fontaine, à l’abbaye royale de Fontevraud, à Angers, à Terra Botanica, sur les rivières de l’Anjou, partageons ce qui compte vraiment.

Le dispositif
- Télé nationale : 67 spots diffusés sur France 2, France 3, France 5 autour d’émissions en affinité avec l’univers Voyage, Culture mais aussi des émissions premiums plébiscitées par les CSP+ (Télématin, C dans l’air, le 13h…). 2 semaines du 17 février au 3 mars.
- Cinéma :
Projection dans 777 salles Paris et Ile-de-France.
Estimation audience minimum : 1 048 000 entrées. 2 semaines du 19 février au 3 mars.
- Facebook et Instagram :
Diffusion du spot générique et des 6 spots partenaires. Février à début mai.

Quelques horaires pour voir le spot
France 2 :
Télématin :
- mardi 18/02/2020 à 8h50
- mercredi 19/02/2020 à 9h20
- samedi 22/02/2020 à 9h20
- jeudi 27/02/2020 à 9h20
- vendredi 28/02/2020 à 8h10 et 9h20
- samedi 29/02/2020 à 9h20
- lundi 02/03/2020 à 7h50
JT 13h :
- lundi 17/02/2020 à 13h35 (fin de journal)
20h le journal :
- vendredi 28/02/2020 à 20h35
France 3 :
Le journal national 12-13 :
- lundi 17/02/2020 à 13h
- lundi 24/02/2020 à 13h
- jeudi 237/02/2020 à 13h
Soir 3 :
- samedi 22/02/2020 à 22h23
Des racines et des ailes :
- dimanche 23/02/2020 à 17h
- dimanche 01/03/2020 à 17h
Échappées belles :
- dimanche 23/02/2020 à 15h
- dimanche 01/03/2020 à 15h
France 5 :
Les 100 lieux qu’il faut voir :
- lundi 17/02/2020 à 20h35
- vendredi 21/02/2020 à 20h35
C dans l’air :
- lundi 24/02/2020à 18h56
- jeudi 27/02/2020à 18h57
- vendredi 28/02/2020à 18h56
- samedi 29/02/2020à 18h57
Silence ça pousse :
- jeudi 20/02/2020 à 22h45

LUNDI 17 FEVRIER 2020